esquisse de début de bibliographie sur la force de vivre

BIBLIOGRAPHIE SUR « LA FORCE DE VIVRE »

(lectures utilisées ou conseillées)

Sur la notion :

« La mort » de Jankélévitch

« Le goût de vivre » in Impromptus de Comte Sponville

« L’existentialisme est un humanisme » de Sartre

«  De l’inconvénient d’être né » de Cioran

« Un merveilleux malheur », de Boris Cyrulnik, Odile Jacob, 1999

« La traversée des catastrophes » de Pierre Zaoui, Seuil, 2010

« Essai sur la vie humaine » de Monique Canto-Sperber, PUF, 2008

Sur Nietzsche :

« Le vocabulaire de Nietzsche » de Wotling

« Nietzsche pas à pas », de Martin Steffens, Ellipses

« Comprendre Nietzsche » de jean Lefranc, Armand Colin

« Le gai savoir de Nietzsche, une manière divine de penser » de Olivier Ponton, CNRS Editions

« La sagesse tragique » de Michel Onfray

« Nietzsche » de Karl Jaspers

«  Nietzsche et la philosophie » de Gilles Deleuze

Littérature :

Témoignages des camps de la mort :

« L’espèce humaine » de Robert Antelm.

« Si c’est un homme » de Primo Levi

Séries :

la série d’OCS sur « Tchernobyl » ; le doc « les chiens de Tchernobyl » sur You tube.

« Walking dead » (pour peaufiner ses techniques survivalistes et comprendre que le pbl, ce sont les humains, pas les zombies…)

« les 100  » (ou comment repeupler la terre avec des ados rebelles après une explosion nucléaire)

« lost in space (perdus dans l’espace) » (sorte de famille de Robinsons, sauf qu’ici l’île, c’est l’espace infini)

Filmographie

« Arctic » de Joe Penna, 2019

« Invincible » I de Angelina Jolie, 2014

« Invincible II » de Harold Cronk, 2018

« The revenant » de Inaritu, 2016

« Jeremiah Johnson » de Sydney Pollack, 1972

« Into the wild » de Sean Penn, 2007

« 127 heures » de Danny Boyle, 2011

« Gravity » de Cuaron, 2013

« Je suis une légende » de Lawrence, 2007

« Le jour d’après », de Emmerick, 2004

« La vie est belle » de Benigni «(1997)

etc etc etc.

Un poème de Jules Laforgue :

Tout m'ennuie aujourd'hui. J'écarte mon rideau,
En haut ciel gris rayé d'une éternelle pluie,
En bas la rue où dans une brume de suie
Des ombres vont, glissant parmi les flaques d'eau.

Je regarde sans voir, fouillant mon vieux cerveau,
Et machinalement sur la vitre ternie
Je fais du bout du doigt de la calligraphie.
Bah ! sortons, je verrai peut-être du nouveau.

Pas de livres parus. Passants bêtes. Personne.
Des fiacres, de la boue, et l'averse toujours...
Puis le soir et le gaz et je rentre à pas lourds...

Je mange, et baille, et lis, rien ne me passionne...
Bah ! Couchons-nous. - Minuit. Une heure. Ah ! chacun dort !
Seul, je ne puis dormir et je m'ennuie encor.

                                7 novembre 1880.

                Jules Laforgue
« Complaintes »

 

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